La bonne nouvelle en revanche, c'est que les ca-ribous qui ont traversé Pyrénées Gascogne en décembre auraient décidé de ne pas retourner au Pôle Nord, mais de séjourner dans un endroit magnifique du côté de Buziet dans les Pyrénées Atlantiques, chez un barbu bien sympathique, prénommé No...rbert ESTEBE ! Si vous passez par là-bas, et si vous apercevez ce disciple du Père Noël, remerciez-le de ma part et de celle de tous ceux qui sont montés à bord de ses calèches, sa performance a été remarquable !
vendredi 28 décembre 2007
Noël, Noël...
La bonne nouvelle en revanche, c'est que les ca-ribous qui ont traversé Pyrénées Gascogne en décembre auraient décidé de ne pas retourner au Pôle Nord, mais de séjourner dans un endroit magnifique du côté de Buziet dans les Pyrénées Atlantiques, chez un barbu bien sympathique, prénommé No...rbert ESTEBE ! Si vous passez par là-bas, et si vous apercevez ce disciple du Père Noël, remerciez-le de ma part et de celle de tous ceux qui sont montés à bord de ses calèches, sa performance a été remarquable !
lundi 17 décembre 2007
Etoile des neiges...
jeudi 6 décembre 2007
La tournée des Ca-ribous
Certains ont cru reconnaître des chevaux avec des bois, les yeux avisés des plus jeunes ont reconnu des rennes, d'autres des ca-ribous (?)... A chacun de choisir...
Attention les ca-ribous sont annoncés prochainement à Auch, Bayonne, et à Pau...
dimanche 25 novembre 2007
Jeunes Plumes 2007, le Lauréat récompensé
Félicitations à Cédric DOLO lauréat du concours 2007.Vous trouverez la bio de ce jeune auteur dans l'article précédent.
Rendez-vous sur le site de la Fondation Crédit Agricole Pyrénées Gascogne pour "Les Jeunes Plumes 2008". Vous y trouverez très prochainement toutes les modalités pour participer au concours, et exprimer vos talents!!!
samedi 24 novembre 2007
Quelques coups d’ombrelle… par CALZONE
Ces 3 nouvelles ont conduit le Jury du concours Jeunes Plumes, organisé par la Fondation Crédit Agricole Pyrénées Gascogne en partenariat avec L’Eclair et La République des Pyrénées, à déclarer CALZONE lauréat du concours 2007.
Mais qui se cache réellement sous ce pseudonyme ?
CALZONE est le pseudonyme emprunté par Cédric DOLO, actuellement domicilié à Pau. Ce célibataire de 30 ans est originaire de Nantes et a posé ses valises en Béarn à l’age de 15 ans.
Passionné d’art culinaire, Cédric suit alors une formation professionnelle et s’oriente dans la restauration gastronomique. Il enrichit ses connaissances au gré de nombreux stages qui le conduisent dans des établissements prestigieux comme chez Chilo à Barcus ou à l’Hôtel du Palais à Biarritz. Cette recherche de connaissance le conduit en Angleterre pendant 1 an et demi. C’est après deux saisons d’hiver et d’été au Club Méditerranée qu’apparaît chez Cédric le désir de voler de ses propres ailes. Il ouvre une pizzéria (d'où le pseudonyme de Calzone) à Pontacq : sa ‘’petite entreprise qui ne connaît pas la crise…’’
Sa deuxième passion (pour l’écriture) apparaît plus tardivement, inspirée par la lecture des ouvrages d’Henri Queffélec et Michel Ragon, de romans d’aventures avec un goût particulier pour les aventures de flibuste.
Lauréat du concours Jeunes Plumes, Cédric DOLO est récompensé par un prix de 1.500€ attribué par la Fondation Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, ainsi que d’une centaine d’exemplaires d’un recueil de ses 3 nouvelles intitulé IMAGINATIONS 2007.
C’est aujourd’hui, au Salon du Livre de Pau, que lui seront remises ces récompenses.
Pour participer au Concours JEUNES PLUMES 2008 rdv sur le site de la FONDATION PG en cliquant sur le lien suivant http://www.fondation-capg.com/concours.html
vendredi 23 novembre 2007
Concours Jeunes Plumes 2007
Samedi 24 Novembre à partir de 14h aura lieu la remise de prix du Concours Jeunes Plumes 2007.
Vous pourrez trouver sur notre stand la publication des nouvelles du lauréat dans le recueil Imaginations 2007.
Nous vous attendons sur le stand de la Fondation!!!
mercredi 21 novembre 2007
Quelques coups d’ombrelle… 6/6
En attendant, nous espérons que cette lecture vous captivera et qu'elle suscitera, peut-être, quelques vocations.
Résumé des épisodes précédents : Nous sommes en Espagne, au milieu du XIXème siècle, non loin de Grenade en Andalousie. Le jeune journaliste Théophile Gautier, accompagné du Padre Miguel, fait la rencontre mouvementée de la très belle Dona Paquiro prénommée Bibiana. Suite à un écart de langage il reçoit un violent coup d’ombrelle, mais se fait pardonner le soir même et découvre le tempérament de feu de la belle andalouse. Le lendemain ils se rendent aux arènes dans lesquelles apparaît le fameux Montès, entouré de son quadrille. Ils assistent au triomphe du talentueux torero, et découvrent la mise à mort sans honneur d'un taureau ''Corbade" (lâche). Puis apparaît le 5ème taureau...
Le regard du taureau était celui d’un assassin, cela se voyait. Montès aussi l’avait vu et sa pâleur trahissait son angoisse. D’autant que l’Alcalde avait abrégé le châtiment de la pique après deux charges très courtes. L’animal peu fatigué, avait encore toute sa force.
Quand les clarines retentirent annonçant que le temps de la mise à mort était venu, le grand toréro savait que le taureau n’était pas prêt à être estoqué. Sa tête ne se baissait pas suffisamment et il n’y avait pas de place pour passer l’épée.
Il agita encore sa muleta rouge devant le mufle de l’animal tout en lui présentant son épée à l’horizontale devant les yeux.
Tout à coup, le taureau s’effondra et mourut immédiatement. Il y eut quelques instants de flottement dans la foule, le temps de comprendre qu’elle venait de se faire berner. Quand elle comprit que le grand Montès lui-même venait d’utiliser un coup défendu par toutes les lois de la tauromachie en transperçant le front de l’animal pour lui piquer la cervelle, cette même foule qui l’adulait quelques instants plus tôt, lui réserva une bronca monstre. Des cris, des sifflets, des injures sortaient de toutes les gorges. Tout le monde était debout pour le conspuer, le huer, l’insulter dans un tumulte invraisemblable qui ne semblait plus s’arrêter. Puis on vit atterrir sur la piste des coussins, des éventails, des chapeaux, des gourdes pleines d’eau et même des morceaux de bancs que les gens arrachaient.
Gautier lui aussi participait aux invectives une fois que l’affaire lui fut expliquée.
« Boucher ! Voleur ! Envoyez-lui les chiens ! » Criait-il dans un état de pure excitation.
A côté de lui le Padre et Bibiana étaient restés assis sans participer à l’hystérie collective.
« Mais enfin Bibiana, lui dit Gautier, tu as vu ça ? Mais c’est un lâche ! Vous m’en reparlerez de votre fameux Montès ! Montès de Chiclana ? Montès chiqué, oui ! Montès mon cul surtout ! »
Ce fut donc un deuxième coup d’ombrelle que le français reçut de l’andalouse en deux jours. Car Bibiana, pâle comme un linge, quitta la loge sans dire un mot mais sans oublier de frapper le pauvre Gautier qui ne comprit pas ce qui lui arrivait.
L’air hébété, l’ombrelle cassée sur la tête en guise de chapeau, il se retourna vers le Padre qui lui aussi ne riait pas, et lui demanda : « Padre. C’est une malade cette femme !»
L’ecclésiastique se leva et lui dit : « Je crois que vous n’en aurez plus l’occasion car vous venez de faire la gaffe la plus monumentale qui soit. Le Montès que vous venez de trainer dans la boue, s’appelle en réalité Francisco Paquiro. Montès n’est que son surnom de toréro, d’artiste. Et Dona Paquiro, Bibiana si vous préférez, n’est autre que sa femme légitime. Et en Espagne, vous apprendrez que l’honneur est sacré. Une dame peut vous permettre toutes les privautés du monde dans son lit, mais il ne faut jamais dire du mal de son mari. Jamais. Retournez donc dans vos salons parisiens, Monsieur Gautier, et laissez la tranquille. Evitez aussi de relater cet épisode dans vos articles de presse et ne mentionnez pas son nom. Les carlistes se réfugient en France et sauraient vous retrouver pour vous régler votre compte. Que la paix soit avec vous mon fils…»
Gautier regarda le prêtre se diriger vers la sortie et disparaître dans les escaliers.
« Et avec votre esprit… » Murmura-t-il.
vendredi 16 novembre 2007
Quelques coups d’ombrelle… (5/6)
Episodes précédents publiés le 18/10, le 25/10, 01/11 et le 8/11.
Les pauvres bêtes offraient leurs flancs aux cornes des taureaux sans qu’aucun caparaçon ne vienne les protéger. Certains, effondrés dans une mare de sang, se prenaient les pattes dans leurs propres entrailles. Quatorze chevaux ce jour là furent éventrés. Un seul taureau en tua cinq.
Le Padre lui raconta aussi que lorsqu’un de ces mastodontes était cobarde, c'est-à-dire lâche, ou manquait de férocité, le peuple des arènes pouvait réclamer les banderilleras de fuego à l’Alcalde par ses vociférations, ses hurlements et ses trépignements.
C’est ce qui arriva d’ailleurs au troisième d’entre eux, qui ne trouva pas mieux que d’aller se coucher à l’ombre après quelques véroniques qu’il consentit à un jeune torero.
Tous les aficionados dans les tribunes se mirent à crier : « El fuego ! El fuego ! » En faisant un tapage d’enfer et en agitant un bout de tissu blanc pour demander que soit appliquée la sentence populaire.
« Regardez bien, amigo. Un banderillero va planter des baguettes d’artificier qui éclateront dans peu de temps au-dessus de la tête du taureau. Ca va le réveiller ! Et si cela ne suffit pas, nous réclamerons les chiens ! »
« Les chiens ? Répondit Gautier. Quels chiens ? »
« Vous verrez bien… » Se contenta de répondre le Padre.
Et il vit.
Le taureau refusant tout combat et repartant systématiquement à sa querencia avec une imperturbable opiniâtreté, eut droit encore une fois aux foudres des spectateurs. « Los perros ! Los perros ! ».Crièrent-ils comme des enragés. Seule la permission accordée par l’Alcalde put rétablir l’ordre et le calme.
Alors, d’une porte basse sortit une meute d’une vingtaine de chiens de race qui se ruèrent sur l’animal qui fit front. Il eut beau se défendre de cette soudaine attaque en en tuant cinq ou six qu’il projeta en l’air, il fut rapidement submergé par le nombre. Les chiens, dressés à cet exercice, étaient d’une ténacité incroyable ! Et quand l’un d’entre eux arrivait à planter ses crocs dans le cuir, il ne lâchait plus prise.
Mordu à l’oreille, le taureau eut beau cogner le chien contre les barrières, il lui fut impossible de s’en dépêtrer. Alors les hommes intervinrent en tranchant le jarret du taureau qui plia les genoux et s’effondra sur le sable où il fut achevé. Une mort sans honneur pour un animal sans courage qui sortit, tiré à la chaîne par un attelage de mules, sous une bordée de sifflets du public.
Le quatrième taureau fut pour le grand Montès qui déploya tout son art pour le vaincre.
Le Padre Miguel expliqua à son voisin quelques finesses qu’il n’aurait pas su voir : « Senor Gautier, vous remarquerez la façon de toréer de Montès. On appelle cela un style gitano. Il a les mains bien basses et il laisse aller son corps. C’est parfait. Et ce qu’il fait aujourd’hui est très rare. Peu de toréros osent s’entraver les pieds avec des fers pour combattre l’animal. Je crois qu’il n’y a que Pedro Romero de Ronda qui l’ait fait avant lui. Ou celui qu’on surnommait Pepe Hillo de Séville. Mais c’était il y a bien longtemps. Je vous parle d’il y a plus de cinquante ans. Profitez du spectacle, c’est unique ! »
L’estocade fut propre et rapide sans qu’il y ait eut à redire. Montès put faire son tour d’honneur sous les vivas en exhibant les deux oreilles du vaincu à la foule ravie.
« Heureusement qu’il ne s’est pas battu contre un éléphant d’Afrique, dit Gautier. Vous l’imaginez avec les deux grandes oreilles entrain de faire le tour de la piste ? Mais dites-moi, Padre : Pourquoi cet homme si talentueux n’exerce-t-il pas son art à Madrid ? Il n’a rien à prouver ici…»
Le Padre se rembrunit d’un coup : « La politique, cher ami, toujours la politique ! Il ne cache pas ses opinions carlistes. Il a pour ami Ramon Cabrera Grino. Ce qui lui ferme aujourd’hui les portes de Las Ventas, les arènes de Madrid, fief de notre royauté. »
vendredi 9 novembre 2007
Omelette au jambon
C’est l’histoire d’une poule et d’un cochon, qui ne s’aiment pas. Embauchés dans un restaurant, les 2 comparses doivent trouver des idées de plats.
Le cochon, malin, propose immédiatement de faire des omelettes…
La poule, encore plus maligne, suggère d’améliorer les omelettes et de les faire au jambon !
Dans l’omelette au jambon, la poule est concernée et le cochon lui est impliqué…
Quand on parle de développement de durable, de citoyenneté, de sécurité routière, sommes-nous concernés ou impliqués ?
(Photo extraite d'un blog sur les TIC consultable ici , avec une version de la fable différente)
jeudi 8 novembre 2007
Quelques coups d'ombrelle... (4/6)
Résumé des épisodes précédents : Nous sommes en Espagne, au milieu du XIXème siècle, non loin de Grenade en Andalousie. Le Padre Miguel est l'instigateur d'une rencontre entre la très belle Dona Paquiro (Bibiana) et le jeune journaliste Théophile Gautier. La rencontre entre les deux jeunes gens tourne au vinaigre et la jeune femme se retire après avoir asséné un violant coup d'ombrelle sur la tête de l'insolent journaliste. Le padré Miguel conjure Gautier d'aller présenter ses excuses à la belle Bibiana le soir même.
Episode précédents publiés le 18/10, le 25/10 et le 01/11.
C’est les bras embarrassés d’un bouquet de fleurs que le jeune français rejoignit à la nuit tombée la maison de Dona Paquiro. Le Padre l’accompagnait dans ce dédale de rues qui font un quartier au pied de l’Alhambra. « C’est là, dit le Padre. » En désignant une énorme grille qui barrait l’entrée d’un immeuble, à deux pas du palais de la Chancellerie.
Il demanda à Gautier de l’attendre quelques instants tandis qu’il allait prévenir de leur arrivée. Quand il revint, ce fut pour lui annoncer qu’elle condescendait, à le recevoir quelques minutes.
Gautier monta seul l’escalier de pierre qui montait à l’étage pour se retrouver face à une porte en bois à demi entr’ouverte qu’il poussa.
Dona Paquiro était là, nonchalamment allongée sur une méridienne dans un négligé blanc au tissu léger et, lui sembla-t-il, transparent.
« Quérido mio ! Dit-elle en se levant pour l’accueillir. Je suis heureuse de vous revoir ! »
Quand il sortit le lendemain matin dans les rues de Grenade, sa connaissance sur le tempérament des femmes espagnoles avait fait un grand pas. Il chercha les mots qui pouvaient exprimer ce qu’il avait vécu. L’insatiabilité, l’impudeur, la fougue étaient de ceux-là.
Il marchait le cœur léger et la tête pleine des images du corps de sa maîtresse tout en murmurant son prénom, (« Bibiana, ô guapa Bibiana ») comme une cavatine improvisée.
Tandis que dans le ciel s’embrouillait une aurore naissante, il regagna sa chambre d’hôtel et s’endormit tout habillé sur le lit de fer.
A seize heures, il fut réveillé par des coups donnés à la porte. Une voix forte lui criait : « Levez-vous ! Nous allons être en retard ! ». Ce n’est qu’en ouvrant et en voyant la haute stature du Padre que la mémoire lui revint : « Ah oui ! La corrida… »
Après un repas frugal, ils se dirigèrent vers les arènes dans des rues noires de monde.
Ils pénétrèrent dans la plaza de toros. En haut des marches qui débouchaient au milieu des gradins, la lumière était aveuglante. Le soleil chauffait tout un côté de la place où les gens se protégeaient avec des ombrelles ou des chapeaux andalous à bords plats. Les dames s’éventaient en permanence et leurs milliers d’éventails faisaient comme des milliers d’ailes de papillons essayant de prendre leur envol et dont les battements modifiaient sans cesse les couleurs.
Ils s’installèrent dans une loge ombragée à proximité de la tribune de l’Alcalde. Tout à sa contemplation de ce qui se passait en face dans les gradins au soleil où des marchands d’eau faisaient fortune en quelques minutes, Gautier ne prêta pas attention à la personne qui prit place près de lui. Mais quelle ne fut pas sa surprise de rencontrer le sourire de la belle Bibiana et l’éclat de ses yeux arabes !
Elle se pencha vers son Téofilo querido pour lui murmurer : « Après les femmes espagnoles, il ne vous reste plus qu’à vous initier aux finesses de la corrida. Le Padre Miguel s’en chargera mieux que moi. »
Ce à quoi il répondit tout aussi bas qu’elle : « Je préfère cette distribution là que l’inverse… »
Cette remarque lui valut un méchant coup de pied dans les chevilles qu’il n’avait pas vu venir.
« Vous êtes incorrigible ! Lui dit-elle d’un air amusé. Vous mériteriez qu’un taureau de muchas piernas saute les tablas qui ceignent la piste et vienne vous embrocher ! »
Gautier s’amusait de ces joutes verbales. Il lui répondit toujours à voix basse : « Pour un embrochement, je parie que par amour pour moi tu t’interposerais… »
Le deuxième coup qu’il reçut dans la même cheville le fit grimacer de douleur.
« Tu deviens vulgaire, Téofilo. Attention à ne pas aller trop loin. »
Le Téofilo en question se garda bien de répondre. Il s’interrogeait toujours quant aux raisons exactes de l’intérêt qu’elle lui portait. Il n’avait pas été dupe cette nuit, des mots d’amour qu’elle avait pu lui dire.
Il en était là de ses réflexions quand retentirent les trompettes annonçant l’entrée du quadrille.
Le fameux Montès fermait la marche. C’était un homme d’une quarantaine d’années, basané comme un mulâtre, grand et sec à l’allure mesurée.
Le Padre lui fit remarquer les protections en tôle dans les pantalons qui prémunissaient les jambes contre les coups de corne. Montès salua la loge de l’Ayutamiento en ôtant la montera qu’il portait sur la tête. Puis il se tourna vers sa gauche il salua également en direction de Dona Paquiro qui lui rendit son salut.Cette marque de déférence étonna le pauvre Théophile qui allait de surprise en surprise avec cette femme. Ainsi Bibiana connaissait le toréro !
A SUIVRE...
vendredi 2 novembre 2007
A voir avec ses oreilles
Tetsuo et Prosperr
2 groupes palois dont 2 des membres travaillent au Crédit Agricole Pyrénées Gascogne.
Arnaud de Tetsuo (Service Internet) est à la guitare au chant et au clavier,
et Damien de Prosperr (Conseiller à la plate-forme téléphonique CA Direct) lui est à la guitare.
Pour le style musical je reprendrai juste les descriptifs que nous proposent ces 2 groupes :
TETSUO => un post-rock jazzy fait pour être hurlé dans un cabaret en flammes, théatre d'histoires plus stupides les unes que les autres.
PROSPERR => du Rock violent à moustache !
Vous voullez vous faire une idée ?
Je vous laisse clicker : TETSUO <=> PROSPERR
Leur actu:
ces groupes sortent d'une tournée qui est passée par Bordeaux, Poitiers, Le Mans, Orléans, Cherboug...
Tetsuo a enchainé avec des dates en Angletterre à Nottingham et Chelmsford.
Pour les voir rendez vous Samedi 3 Novembre à l'Ampli à Billère en première partie de Nervous Cabaret // Attention dernière date de la tournée!!!
Bonne continuation les gars!!
jeudi 1 novembre 2007
Quelques coups d'ombrelle... (3/6)
L’étranger regardait fasciné le troupeau qui se découpait sur fond de Sierra Nevada
Le Padre riait haut et fort quand il tomba nez à nez avec une jeune femme en robe de couleur qui lui barra le passage.
« Eh bien Padre ! Vous semblez bien gai ce matin ! »
L’homme feignit la surprise : « Dona Paquiro…Je suis ravi ! Il y a si longtemps… »
Puis, en désignant son compagnon, il ajouta : « Permettez-moi de vous présenter un ami qui nous vient de Paris… »
Les deux jeunes gens se dévisagèrent rapidement. La beauté de la jeune femme ne passait pas inaperçue..
Lui âgé d’une trentaine d’année, était d’une banalité physique affligeante. Plutôt petit et malingre, des cheveux longs et gras qui encadraient un visage à la barbe clairsemée, il contrastait avec la femme de race qui lui faisait face.
La padre enchaîna : « Savez-vous, très chère, que le senor qui m’accompagne est une éminente personnalité de monde littéraire parisien… »
« Je ne savais pas. » Répondit Dona Paquiro.
« L’ecclésiastique continua. Il a déjà publié des poèmes et des romans ! Et compte parmi ses amis, messieurs De Nerval, Balzac et Hugo ! »
Ce dernier nom fit réagir la jeune femme : « Hugo ? Dit-elle.Vous voulez parler de Victor Hugo ? Votre amitié avec cet homme vous honore, Monsieur… »
« Gautier. Théophile Gautier. Pour vous servir, Madame… »
« Mon Dieu ! S’écria l’abbé ; Je ne vous avais pas présenté. Monsieur Gautier est journaliste. Il fait un reportage pour un journal dont j’ai oublié le nom. »
« Enchantée. Mais que racontez-vous à vos lecteurs, senor Téofilo ? »
L’appellation fit sourire le jeune homme.
« Beaucoup de choses, Madame. Tout est tellement différent et…Pareil à la fois ! Mais tout tend à s’uniformiser et je le regrette. Alors je relate vos singularités car le jour où Grenade ressemblera à Paris, les voyages deviendront inutiles. Et il y a des domaines où j’ai tant à apprendre… »
« Lesquels par exemple ? » Demanda-t-elle.
« Les femmes, lui répondit-il. Si votre pays est à mon sens le pays des énigmes, les femmes y sont d’un mystère ! »
« Les femmes, dites-vous ? Mais nous sommes comme toutes les autres… »
Le Padre qui crut bon de changer de conversation : « Notre ami s’intéresse aussi à la corrida. C’est la raison de notre présence ici. Imaginez-vous, très chère, que notre ami proposait de lâcher les taureaux dans les rues pour qu’ils rejoignent seuls les arènes de la ville ! »
Les deux espagnols rirent de bon cœur.
« Vous êtes fou ! Monsieur…répondit-elle en s’adressant au français. C’est la chose la plus inouïe que j’aie entendue à ce jour. C’est vrai que vous avez beaucoup à apprendre. Et j’espère pour vous que vous vous y connaissez mieux en femmes qu’en taureaux… »
« Je ne peux pas vous dire, répondit Gautier, je n’ai jamais enculé de taureau. »
La violence du choc plia à angle droit l’ombrelle qui s’abattit sur sa tête. La jeune femme, offusquée, tourna les talons et s’en fut vers sa voiture qui l’attendait plus loin.
Le Padre Miguel ne savait pas quelle contenance adopter.
« Qu’avez-vous fait là ? Balbutia-t-il. Ce ne sont pas des choses qui se disent ! »
« Cette bosse me restera en souvenir, dit le français en se grattant la tête. La stupeur que j’ai pu lire sur son visage m’a largement dédommagé de cette avanie. »
« L’affront, dit le Padre, c’est elle qui l’a essuyé. C’est pourquoi vous irez vous excuser auprès d’elle.»
« M’excuser, dit Gautier, il n’en est pas question ! »
« Dès ce soir, insista l’abbé. Ici vous risquez votre vie pour cet écart de langage. Si Dona Paquiro se plaint auprès de son mari, vous êtes un homme mort avant la publication de votre prochain article… »
Ces quelques paroles eurent le don de calmer subitement Théophile Gautier qui déclara : « Dans ce cas…Je vais vous écouter. »
samedi 27 octobre 2007
30 Octobre, à partir de 19h : Inauguration de l'île Crédit Agricole
30 octobre 2007, une inauguration d'un nouveau genre pour le Crédit Agricole... Conférence, débat, expo photo, concert et feu d'artifice au programme : jusque-là, rien de vraiment nouveau, mais voilà, cela va se passer sur Second Life, dans l'île Crédit Agricole !!!
Liens utiles :
Blog "La Seconde Vie de Pyrénées Gascogne"
vendredi 26 octobre 2007
Le Rugby n'est pas un sport de gonzesse !!! Croyez-vous ?
C’est de l’équipe de rugby féminine de Lons dont je veux parler.
Cette équipe avait déjà réussi l’exploit peu commun d’obtenir le titre de championne de France deux années consécutives : celui de 2ème division en 2006 et de 1er division – Challenge Armelle Auclair (antichambre de l’élite) – en 2007.
Cette dernière performance leur permet de participer cette saison, avec les 7 autres meilleurs clubs de France, au championnat de France Elite. Elles sont donc les seules, avec l’Aviron Bayonnais, le Biarritz Olympique et le FCAG (Auch) chez les garçons, à représenter le territoire de Pyrénées Gascogne dans l’élite nationale du rugby.
Le saviez-vous ? Eh bien, répondez !!!
Qu’elles soient lycéennes, étudiantes, profs de sport ou en contrat de professionnalisation au… Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, elles partagent toutes la même passion pour un sport que l’on croirait dédié exclusivement aux garçons. Outre leur adresse et leurs qualités athlétiques c’est leur engagement et leur combativité qui étonnent, à en faire pâlir Sébastien Chabal himself. Et tout cela sans rien perdre de leur féminité. La preuve !
Pour en revenir à mon propos initial, c’est le lendemain de la défaite de l’équipe de France face à l’Angleterre que les filles du RC Lons, opposées à l’équipe de Caen finaliste du Championnat de France Elite 2007, ont réussi l’exploit de dominer leurs prestigieuses adversaires sur le score sans appel de 26 à 0, en inscrivant 4 essais et en empochant le point de bonus.
Bien entendu il ne s’agissait que du 1er match officiel de la saison et le déplacement de dimanche sur le terrain de l’ogre Montpellier, champion de France en titre, se révèle particulièrement périlleux.
Je suis convaincu qu’elles défendront chèrement leur peau.
Quoi qu’il arrive nous suivrons leur parcours et, si vous le souhaitez, nous irons à leur rencontre pour découvrir les raisons de cette réussite, échanger avec elles sur cette passion qui les fait ‘’sortir du cadre’’, sur le regard qu’on porte sur elles. En attendant, allez les voir, allez les soutenir, vous ne le regretterez pas !!!
jeudi 25 octobre 2007
Quelques coups d'ombrelle... 2/6
Premier épisode publié ci-dessous à la date du 18/10.
Le Padre entra dans son église. Une femme se tenait debout au milieu de la nef et semblait l’attendre. La pénombre ambiante, une sorte de tiers de jour, ne facilitait pas la vision.
Mais au bout d’un moment il chuchota : « Bibiana ? C’est bien toi ? »
« Oui Padre. Ai-je donc tant changé ? » Répondit-elle. J’avais besoin de me confier à quelqu’un…J’ai pensé à vous ».
Alors, d’une main, il l’invita à se diriger vers le confessionnal en bois de chêne qui sentait la cire et la poussière.
« Tu es devenue une très belle femme, sais-tu... Pater, fili e spiritus sanctus, je t’écoute. »
Quand ils ressortirent, le prêtre était perplexe.
« Ce que tu me demandes là, commença-t-il, n’est pas commun… »
« Oh Padre ! Je vous assure que c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour nous sauver ! »
« Les liens du mariage sont sacrés chez nous, répliqua l’abbé, et tu sais que j’ai pour ton mari une admiration sans borne. Cependant… »
« Cependant…Continuez Padre ! »
« Rien de sûr…Crois-tu que tu pourrais me procurer deux places pour la corrida de lundi à Grenade ? »
Et tout en la raccompagnant à sa diligence, il lui donna ses instructions quant à la suite des opérations. Bibiana appela le mayoral qui faisait provision de petits cailloux dont il ferait usage pour énerver les oreilles des mules de l’attelage.
Sitôt installée, elle donna l’ordre de démarrer et la voiture disparut rapidement dans la pente de la colline desséchée. Longtemps le Padre resta sur le parvis de l’église pour suivre du regard le tourbillon de poussière que soulevait l’équipage en s’éloignant dans cette plaine aride. Une chaleur torride empesait déjà la sévère beauté du paysage malgré l’heure matinale, et pas un souffle de vent n’emportait la poussière en suspension qui retombait lentement sur les bords du chemin, enfarinant d’une couche grisâtre les oliviers qui se trouvaient là.
Le silence et la solitude revenus, le Padre se dirigea vers le village pour entrer dans la tienda d’un de ses paroissiens qui louait des chambres à des voyageurs de passage... (A SUIVRE)
vendredi 19 octobre 2007
Seconde Vie, les derniers jours !
jeudi 18 octobre 2007
Quelques coups d'ombrelle... (1/6)
Modeste jardinier, il ne faisait pousser que quelques plants de tomates, de salades et des touffes de fenouil au milieu desquels des pastèques se faisaient une place.
Il vérifiait chaque fois que l’eau gouttait bien des encaissements de bois vermoulus qui servaient à l’irrigation. Puis il allait dans le fond, admirer ses trois lauriers roses et ses fuchsias qui lui servaient parfois à décorer l’autel de son église.
C’est au moment où il écrasait dans ses mains une fleur d’ail sauvage, si douce au toucher mais à l’odeur si acre, qu’un bruit lui fit lever la tête. Une voiture tirée par des mules dont on entendait sonner les grelots montait le chemin défoncé qui menait à son église.
Il se demandait qui pouvait venir de si bonne heure dans son petit village, Bailen, retiré aux confins de l’Andalousie, juste après le bout du monde.
La même angoisse l’étreignait à propos de ces arrivées impromptues depuis qu’il avait vu débouler quelques trente-deux années plutôt, un détachement de cavaliers français de l’armée de Joseph Bonaparte. Le général Dupont en personne s’était adressé à lui pour obtenir des renseignements sur les forces ennemies et lui avait également demandé de lui servir la messe.
Deux choses qu’il s’était refusé à faire par patriotisme et qui lui valurent quelques désagréments malgré ou à cause de la soutane qu’il portait.
L’église avait été bâtie sur un morne et offrait sur la plaine une vue d’ensemble qui permettait d’embrasser du regard les vingt mille hommes qui prenaient position. Le quartier général français s’y était installé pour mener la bataille qu’il allait perdre quelques jours plus tard... (A SUIVRE)
mardi 16 octobre 2007
Danielle MITTERRAND à Orthez...
La Journée Jeunesse de vendredi avait donné le ton avec la visite, sur les stands et atelier organisés, de plus d’un millier d’élèves des Collèges et Lycées environnants.
Puis, rythmées par de nombreuses animations et remises de prix, le journées de samedi et dimanche ont vu un public nombreux et de toutes générations se presser entre les stands dressés à la Moutète.
samedi 13 octobre 2007
Haka France – Nouvelle Zélande : le remake !
Clin d’œil des équipes de Pyrénées Gascogne (Informatique, Pilotage Financier, PG Immo, Distributeurs Automatiques…) pour rendre hommage à nos valeureux guerriers tricolores, et leur attitude impressionnante lors du haka néo-zélandais samedi dernier…
Merci à Laurent, Jean-Noël, et Joseph, All Blacks du jour, et à Gérard, Claude et les 2 Olivier, Frenchies de tous les jours, pour ce bon moment !
Et allez les Bleus !!!
vendredi 12 octobre 2007
jeudi 11 octobre 2007
Remède pour stopper la morosité!!!
ça se passe maintenant près de chez vous!!!!
Ce mois d'Octobre c'est à l'Université de Pau qu'il faut être!!
Chaque année en cette période de rentrée (je sais oui, pas trés drôle la rentrée), la Centrifugeuse (la salle de spectacle de l'Université) vous redonne le sourire !!!
Alors vous allez certainement me demander comment???
=> Les bloggers: "Oui, Oui comment???"
Holà Holà pas tous ensembles!!!!
Je vais vous le dire oui...
... la recette pour avoir le sourire en octobre: Un festival de rentrée!!!
Cette année la Centrifugeuse vous propose le festival "Pour regarder sur les côtés".
En vrac vous y trouverez de la musique, du théâtre de rue, des expos...
le programme c'est ici,
et si vous voulez du son c'est par là.
lundi 8 octobre 2007
Y en a marre !!!
D’où le sondage mis sur ce blog, sur le look du Conseiller Jeunes !
Et le verdict est : Jean + chemise ! Costumes et cravates peuvent rester au placard… Quant au tandem bermuda-tongs, faut-il considérer sa seconde place dans le sondage comme une réponse uniquement ludique ou est-ce vraiment tendance ? Vu la météo actuelle, c’est bon en tous les cas pour choper la crève !!! Et il y a uniquement sur Second Life où c’est sans risque : 2 clics et voilà Doyou Shepherd, mon avatar, en tongs et bermuda !
vendredi 5 octobre 2007
Le savon du vendredi !
Entre nous, je préfère la blague… surtout quand le savon vient du DG en personne !
La raison du savon : notre Directeur Général rencontre périodiquement les jeunes embauchés, afin d’échanger librement et de connaître leur ressenti sur leur entrée et leur vie dans notre entreprise...
Dans les thèmes abordés lors de la dernière réunion, il y a eu les jeunes et là, bingo, il en est ressorti que CAMPG ne faisait rien pour les jeunes clients ! Et pan le Marché des Jeunes…
Opération « ça bulle » (de savon ?), Coups de Chapeau Bacheliers et Apprentis, Mozaïc Projets, blog Do U Speak Jeunes, Second Life : il me semble pourtant que nous mettons le paquet ! Mais cela doit compter pour du beurre… ou en tous les cas, cela n’est pas suffisant…
La critique, quand elle est constructive, est bénéfique : aussi sommes-nous preneurs, au Marché des Jeunes, de toutes les critiques, mais aussi de toutes les idées, propositions et … félicitations aussi ( !), pour améliorer nos actions, et rendre les jeunes embauchés fiers de CAMPG !
jeudi 4 octobre 2007
Réunion sur Second Life
jeudi 27 septembre 2007
Banzaï !!!
Quelle ambiance ! Plus de 33 000 personnes à scander « Japon, Japon, Japon ! » pendant 10 minutes… Je n’aurais pas cru cela possible, dans un match sans réel enjeu (dernier contre avant-dernier de la poule) mais il paraît que c’est cela, l’effet Coupe du Monde !!!
Cela se passait mardi soir, à Bordeaux, dans le stade Chaban Delmas. Les Japonais, menés de 7 points à 5 minutes de la fin, avaient enfilé leur bleu de travail et faisaient le maximum pour marquer un essai. Le 16ème homme avait pris parti pour ces valeureux Samouraï, et scandait donc « Japon, Japon, Japon » !
Et ce fut une ovation quand l’un des leurs réussit à aplatir sur la terre promise… Et re-ovation quand la (dur) pénalité fut réussie !
Les Japonais étaient aux anges, les 15 conseillers jeunes du CA et les 800 jeunes que nous accompagnions des Comités Béarn, Armagnac-Bigorre et Côte Basque aussi ! Banzaï, ce n’était que du bonheur !!!
mercredi 26 septembre 2007
Retour sur les soirées IPARRALDEKO KONPILAZIOA
HURMURAO est un jeune groupe de rock metal né à suhuskune. Il est composé de Remy (batterie), Ibes (guitare), Manex (basse) et Benat (chant). depuis 2005 ils se sont produits sur une vingtaine de scènes locales.
TAOUMAS est riche des diverses influences apportées par chacun de ses membres. Le résultat est ensoleillé et métissé de reggae, de rock, de funk... et de paroles venant du coeur.
NO-YZY a été reconstitué par Niko, Julman, JB et stéphane en septembre 2006. Ils s'expriment dans un style mélant punk-rock et rock n'roll.
OKABE avec sa chanteuse et ses 5 musiciens a déjà 5 années de concerts en France et Pays Basque. Porté par la voix douce et sensuelle de sa chanteuse, ce groupe offre une musique originale influencée de rock, soul, ou Trip Hop.
OTSOAK propose un rock aux accents festifs utilisant cornemuse, flutte traversière, accordéon et cuivres. Après un premier album en 2005, ce groupe travailler à la sortie d'un deuxième CD.
PACO TA MARIEDER a vu le jour il y a 5 ans du côté de Garazi. Après 1 an de pause, ce groupe de la scène locale revient pour distiller un son folk rock plutôt mélancolique.
LA FIN DE LA SOCIETE... telle que nous la connaissons est un groupe étonnant de rock/métal qui se démarque par le mélange des styles et l'utilisation d'instruments non conventionnels tels que la batterie électronique et le violoncelle. A déguster sans aucune modération...
Retrouvez la plupart de ces groupes sur le site www.iparraldekokonpilazioa.org
vendredi 21 septembre 2007
Et voici ... la blagounette du vendredi !!!
Michael Cooper, Australien d'une vingtaine d'années avait fait dans les années 80, un voyage au Kenya à la fin de ses études.
Lors d'un safari, alors qu'il s'était éloigné de son groupe au moment d'un arrêt, il se trouva face à face avec un éléphanteau qui semblait blessé à sa patte avant gauche qu'il maintenait levée. Cooper réalisait que l'animal pourrait le charger, mais comme il ne semblait pas agressif, il s'en est approché prudemment et il a pu constater qu'en effet, l'éléphanteau avait une énorme écharde plantée à la base de sa patte.
Très calmement, Cooper a posé un genou à terre et à l'aide de son couteau a retiré l'écharde de la patte. Dès que l'animal a été soigné, il a pu reposer sa patte au sol, il a longuement regardé Cooper, puis il a barri bruyamment et s'en est allé.
Jamais, Cooper ne s'est senti menacé par l'éléphanteau et il a conservé toute sa vie le souvenir magique de ce moment rare.
Presque 20 ans plus tard, Cooper s'est rendu avec son fils âgé de 11 ans, à un zoo de la banlieue de Sidney. Lorsqu'ils sont passés tous les deux devant l'enclos des éléphants, l'un des éléphants s'est brusquement mis à taper le sol avec sa patte avant gauche.
Cooper s'est mis à douter, pouvait-il s'agir du même éléphant que celui qu'il avait soigné 20 ans auparavant ...???
Il s'approcha un peu plus de l'enclos, et l'animal continuait de frapper le sol de plus belle.
Alors, Cooper enjamba le mur d'enceinte et se dirigea vers l'éléphant.
Ce dernier le souleva en l'attrapant par la taille avec sa trompe, ensuite il le fracassa contre le mur... Ce ne devait pas être le même éléphant...
il est con ce Cooper.
mardi 18 septembre 2007
Vendredi 21 et Samedi 22/09 EXCEPTIONNEL à l'ATABAL de BIARRITZ, ne manquez pas les concerts de lancement IPARRALDEKO KONPILAZIOA...
Grâce aux nouveaux partenariats, venez découvrir ces groupes en live, dès ce week end, dans la grande salle de spectacle de l’ATABAL à Biarritz (37, allée du Moura).
22h45 23h15 : HURMURAO
23h30 00h00 : WILLIS DRUMMOND
00h15 00h45 : LA FIN DE LA SOCIETE
01h00 01h30 : OKABE
Prix d’entrée à 5€ et une compilation cd offerte à chaque spectateur.
Un air de feria chez les JA
Cette manifestation est aussi l’occasion de faire une grande fête autour de l’agriculture. A l’humeur enthousiaste des jeunes organisateurs et des visiteurs se mêlaient les odeurs alléchantes de ventrèche et de merguez…
Non loin des hauts lieux des ferias du Sud Ouest on pouvait entendre certains chants rappelant les douces soirées vicoises, dacquoises ou bayonnaises…
Belle ambiance pour ces trois journées passées sous le soleil du Gers !!!
Merci à Martin et Sébastien et leurs acolytes pour la photo, bonne continuation les gars !
vendredi 14 septembre 2007
Mais que font les banquiers ?
mardi 11 septembre 2007
Une belle journée de foot !
Le maître-mot de cette journée est la convivialité : une fois la démarche administrative terminée, les enfants peuvent bénéficier d’une bourse d’échanges, participer à des jeux et petits matchs, et la journée se termine par un goûter offert par le club.
Cette année, l’agence d’Arthez de Béarn était le partenaire de cette journée et a souhaité apporter son soutien à travers quelques dotations. Au-delà de son rôle de proximité, l’agence a voulu souligner l’esprit de bénévolat qui anime ce club et qui se rapproche des valeurs du mutualisme propres au Crédit Agricole !
Hervé Gonzalez, responsable de l'agence d'Arthez, résume de belle manière le déroulement de cette manifestation originale : "cette journée fut tout simplement un beau moment de rencontres et de sport... "
jeudi 30 août 2007
30 minutes... pour la vie !
Même si je n’aime pas forcément les piqûres (mais d’ailleurs, est-ce qu’il y en a qui aiment ça ?), j’ai fait partie des volontaires ! Une fois mon prélèvement effectué, et la collation prise (!), j’en ai profité pour poser quelques questions au médecin présent sur place, le docteur Jean CLAVEL…
L : Docteur, pouvez-vous nous dire quelles sont les missions de l’Établissement Français du Sang ?
JC : L’EFS est un établissement public national, dont le rôle est complexe. C’est un peu comme la banque, il y a les dépôts, mais il y a aussi les prêts, et tous les services supports (logistique, finances…) qui ne se voient pas ! L’EFS a 3 missions principales : 1) les prélèvements, 2) le conditionnement et la qualification, 3) la distribution des produits sanguins. Les prélèvements constituent une petite partie de notre activité, mais elle est indispensable.
Il faut savoir que la demande de transfusion au niveau national et régional est en hausse constante depuis plusieurs années, et de ce fait nous sommes à la recherche de nouveaux donneurs. Nous avons d’ailleurs comme objectif une hausse de 20% du nombre de donneurs en 2007
L : C’est un objectif élevé, non ?
JC : Oui, mais nous ne cherchons pas à faire de bénéfice (nous n’avons pas de concurrence d’ailleurs), nous cherchons juste à faire face à la demande. Et compte tenu des défections (donneurs de plus de 66 ans, donneurs malades exclus, déménagements, etc...), 20% de donneurs en plus ne signifie pas cependant 20% de dons en +...
JC : Oui, les jeunes sont nombreux et aujourd’hui ¾ des nouveaux donneurs sont des jeunes ! Quand à l’âge, il suffit d’être majeur pour donner son sang.
L : A l’heure de la parité dans tous les domaines, hommes et femmes sont-ils à égalité dans le don du sang ?
JC : Non, depuis 3 ou 4 ans, ce sont les femmes qui donnent majoritairement leur sang, mais elles sont limitées à 3 dons par an, contre 5 pour les hommes. En fait, nous avons un déficit de don chez les hommes de 30 à 45 ans.
L : A bon entendeur, salut !… Mais où et quand peut-on donner son sang ?
JC : Plusieurs possibilités : soit lors d’une collecte comme aujourd’hui en entreprise, soit lors d’une collecte de village, soit en allant directement dans 1 centre de don. Pour connaître le centre le plus proche de chez soi, il suffit de se connecter sur http://www.ledondusang.net/.
L : Faut-il prendre rendez-vous ? Peut-on manger avant ? Comment se passe le don ?
JC : Il n’y a pas besoin de prendre rendez-vous. Il faut venir avec une pièce d’identité, après avoir pris une collation sans matière grasse. Il y a un questionnaire médical à remplir avant chaque don. Il s’ensuit un entretien avec un médecin, puis le prélèvement lui-même. Et après, une collation est offerte à chaque donneur. et pour ceux qui souhaitent plus d'infos, il est possible d'appeler le 0 810 150 150 (N° Azur, prix d'un appel local).
L : En moyenne, combien de temps faut-il, entre les formalités, le don et la collation?
JC : Il faut compter de 30 minutes à 1 heure par don, en fonction de l'attente.
L : Docteur, je vous remercie !